/image%2F0062006%2F20150225%2Fob_7a6de0_48260-4307767966118-609811664-o.jpg "ou comment visiter l'Egypte autrement")
Voyage 2012 - Récit - jour 6
La vallée des Nobles
Nous nous réveillons avec les chants des oiseaux et se retrouvons tous ensemble pour prendre le petit déjeuner sur la terrasse en toit avec Marie-Paule qui nous a rejoint afin d'établir les plans pour les prochains jours, plans qui seront adaptés en fonction de la forme physique des jours à venir.
Cette journée sera consacrée à la vallée des nobles ou Cheikh Abd El-Gourna en arabe et au Ramasseum, le temple de millions d'années de Ramses II.
Il est à peine 09h et il fait déjà très chaud. Le combi qui a été appelé par les soins de Marie attend devant la villa avec Mohammed en grande forme, belle djellaba, grand sourire et beaucoup d'humour.
Nous lui indiquons notre destination et lui demandons de s'arrêter au Ticket office, mais je pense qu'il n'est pas nécessaire de lui préciser cela, car il doit connaître les lieux parfaitement. La villa se trouvant proche des sites, nous y arrivons en quelques minutes. J'achète les tickets nécessaires, et soulage au passage un vieux monsieur de quelques babioles, sortes de chasse-mouches très bien réalisés. Je pense lui avoir donner beaucoup plus que demandé car il m'enlasse très généreusement, geste que je partage sans hésiter. Mohammed le connaissant bien lui met les billets en poche pour pas que les autres ne les remarquent. Nous lui en racheterons le lendemain.
Le combi nous ayant déposés sur le parking de la vallée des nobles, nous nous dirigeons vers le site et je me souviens des avertissements faites par le chauffeur de l'année précedente :
-Evitez la personne qui vient vers vous pour vous guider, sinon il ne vous lachera plus !!!
Et effectivement, la personne en question est fidèle au rendez-vous, comme l'année passée. Je lui fait vite comprendre qu'il perd son temps car je connais très bien les lieux et les seules personnes dont j'ai besoin sont celles qui ouvrent les portes des tombes.
Nous nous dirigeons vers la droite afin d'atteindre la première tombe où un vendeur d'antiquités nous y attend dèjà et à qui on donne rendez-vous à la sortie en lui promettant de lui acheter quelque chose mais il ne semble pas nous croire et nous suit durant plusieurs mêtres. Voulant être seuls, je lui réitère ma promesse et n'insiste plus, il n'est finalement pas désagréable et on comprend fort bien sa démarche économique.
La tombe est celle de Nakht, la tombe aux vignes. Nakht était scribe et prêtre d'Amon sous Thoutmosis IV et Amenhotep III. Après avoir appelé le gardien, d'abord doucement puis de plus en plus fort, le voici qui arrive au loin avec les clefs. Très sympathique, il nous fait faire le tour des lieux en nous montrant quelques hieroglyphes ainsi que quelques réprésentations de dieux ou en nous montrant des scènes spécifiques sur les parois. Ils font comme ils peuvent car finalement ce ne sont que des gardiens et non des guides, mais ils connaissent chacun très bien leur petit domaine et ça vaut bien le petit dédommagement.
Les décorations y sont splendides bien qu'altérée sous Akhénathon, Amon n'étant pas le meilleur ami de celui-ci. La niche du fond contient une reproduction d'une statue agenouillée de Nakht, statue qui a disparue avec le vapeur Arabic coulé en 1915 par un sous-marin allemand, dommage car elle devait être bien jolie.
Cette journée sera consacrée à la vallée des nobles ou Cheikh Abd El-Gourna en arabe et au Ramasseum, le temple de millions d'années de Ramses II.
Il est à peine 09h et il fait déjà très chaud. Le combi qui a été appelé par les soins de Marie attend devant la villa avec Mohammed en grande forme, belle djellaba, grand sourire et beaucoup d'humour.
Nous lui indiquons notre destination et lui demandons de s'arrêter au Ticket office, mais je pense qu'il n'est pas nécessaire de lui préciser cela, car il doit connaître les lieux parfaitement. La villa se trouvant proche des sites, nous y arrivons en quelques minutes. J'achète les tickets nécessaires, et soulage au passage un vieux monsieur de quelques babioles, sortes de chasse-mouches très bien réalisés. Je pense lui avoir donner beaucoup plus que demandé car il m'enlasse très généreusement, geste que je partage sans hésiter. Mohammed le connaissant bien lui met les billets en poche pour pas que les autres ne les remarquent. Nous lui en racheterons le lendemain.
Le combi nous ayant déposés sur le parking de la vallée des nobles, nous nous dirigeons vers le site et je me souviens des avertissements faites par le chauffeur de l'année précedente :
-Evitez la personne qui vient vers vous pour vous guider, sinon il ne vous lachera plus !!!
Et effectivement, la personne en question est fidèle au rendez-vous, comme l'année passée. Je lui fait vite comprendre qu'il perd son temps car je connais très bien les lieux et les seules personnes dont j'ai besoin sont celles qui ouvrent les portes des tombes.
Nous nous dirigeons vers la droite afin d'atteindre la première tombe où un vendeur d'antiquités nous y attend dèjà et à qui on donne rendez-vous à la sortie en lui promettant de lui acheter quelque chose mais il ne semble pas nous croire et nous suit durant plusieurs mêtres. Voulant être seuls, je lui réitère ma promesse et n'insiste plus, il n'est finalement pas désagréable et on comprend fort bien sa démarche économique.
La tombe est celle de Nakht, la tombe aux vignes. Nakht était scribe et prêtre d'Amon sous Thoutmosis IV et Amenhotep III. Après avoir appelé le gardien, d'abord doucement puis de plus en plus fort, le voici qui arrive au loin avec les clefs. Très sympathique, il nous fait faire le tour des lieux en nous montrant quelques hieroglyphes ainsi que quelques réprésentations de dieux ou en nous montrant des scènes spécifiques sur les parois. Ils font comme ils peuvent car finalement ce ne sont que des gardiens et non des guides, mais ils connaissent chacun très bien leur petit domaine et ça vaut bien le petit dédommagement.
Les décorations y sont splendides bien qu'altérée sous Akhénathon, Amon n'étant pas le meilleur ami de celui-ci. La niche du fond contient une reproduction d'une statue agenouillée de Nakht, statue qui a disparue avec le vapeur Arabic coulé en 1915 par un sous-marin allemand, dommage car elle devait être bien jolie.
Fausse porte à droite en entrant dans le vestibule d'enttrée. Nous en ressortant trempés de sueur tellement il y fait chaud.
N'oubliant pas de lui donner son pourboire qu'il aurait été difficile d'oublier vu la main tendue, nous saluons le gardien et poursuivons notre visite en coutournant le monticule vers la droite jusqu'à arriver à l'entrée de la tombe de Menna où le gardien ou disons plutôt les gardiens puisqu'ils sont deux nous attendent patiemment. Ce doit être le tam-tam local qui les a prévenus.
Un peu dur de suivre les explications de deux personnes à la fois mais ils sont tellement gentils que cela se fait dans la bonne humeur et avons même le loisir d'échanger quelques plaisanteries. Après tout, nous sommes des touristes et ils font leur travail et ils le font même plutôt bien. On a pas forcémment d'aussi beaux sourires dans nos musées.
Un peu dur de suivre les explications de deux personnes à la fois mais ils sont tellement gentils que cela se fait dans la bonne humeur et avons même le loisir d'échanger quelques plaisanteries. Après tout, nous sommes des touristes et ils font leur travail et ils le font même plutôt bien. On a pas forcémment d'aussi beaux sourires dans nos musées.
Voici nos hommes, ils ont vraiment fières allures.
Menna était scribe des domaines du seigneur des deux terres - Haut fonctionnaire du cadastre sous le règne de Thoutmosis IV, le grand-père d'Akhênaton.
Cette sépulture est décorée de superbes fresques de scènes de la vie quotidienne, représentées dans des couleurs lumineuses. Comme la plupart des tombes de scribes, elle composée de deux salles et d'une niche dans le fond de la deuxième. La première salle est réservée aux offrandes tandis que la deuxième est plutot réserve au défunt. Prévoyez à boire pour effectuer ces visites, car à l'intérieur des tombes il fait très très chaud.
Aussitôt les usages faits, nous revenons sur nos pas pour rejoindre la tombe de Ramose, la plus belle entre toutes bien que non terminée. En effet, Ramose a décidé ou été forcé de suivre son maître et roi Akhênaton à Amarna en moyenne Egypte. Mais la tombe conserve malgré tout de très jolis décors dont une scène fantastique avec un personnage aux yeux finement dessinés. C'est directemnt à gauche en entrant.
La salle funéraire n'est pas accessible au public, bien que l'année précédente nous avons essayer d'y descendre grâce à un bon bakshish, mais il est impossiblle d'aller loin dans la descenterie qui est très dangeureuse ou du moins n'avions nous pas les bonnes chaussures. Elle se trouve dans le fond à gauche en entrant. Si personne n'est présent, le gardien vous tendera une lampe de poche contre un remerciement en espèces. Un de ces jours, je réessayerai.
Cette sépulture est décorée de superbes fresques de scènes de la vie quotidienne, représentées dans des couleurs lumineuses. Comme la plupart des tombes de scribes, elle composée de deux salles et d'une niche dans le fond de la deuxième. La première salle est réservée aux offrandes tandis que la deuxième est plutot réserve au défunt. Prévoyez à boire pour effectuer ces visites, car à l'intérieur des tombes il fait très très chaud.
Aussitôt les usages faits, nous revenons sur nos pas pour rejoindre la tombe de Ramose, la plus belle entre toutes bien que non terminée. En effet, Ramose a décidé ou été forcé de suivre son maître et roi Akhênaton à Amarna en moyenne Egypte. Mais la tombe conserve malgré tout de très jolis décors dont une scène fantastique avec un personnage aux yeux finement dessinés. C'est directemnt à gauche en entrant.
La salle funéraire n'est pas accessible au public, bien que l'année précédente nous avons essayer d'y descendre grâce à un bon bakshish, mais il est impossiblle d'aller loin dans la descenterie qui est très dangeureuse ou du moins n'avions nous pas les bonnes chaussures. Elle se trouve dans le fond à gauche en entrant. Si personne n'est présent, le gardien vous tendera une lampe de poche contre un remerciement en espèces. Un de ces jours, je réessayerai.
Quelle beauté !!!!! ......En haut relief, en non en creux. Comme savaient le faire les artisants de Sethi I.
Un magasin artisanal se trouve juste en face ou vous pourrez acheter des répliques de la scéne ci-dessus ainsi que d'autre oeuvres réalisées par un maitre renommé dans la région pour ses gravures. Les quelques personnes s'y trouvant sont d'une grande gentillesse. J'ai même retrouvé l'enfant sur lequel je m'étais presqu'assis l'an dernier. Année où l'on nous a servi du thé en promettant de revenir leur acheter quelque chose, voila qui est chose faite. Il faut dire que lors de notre précedente visite dans la vallée, nous avions été très généreux en pourboire et il nous restait juste assez pour rentrer à l'hotel. Cette année, malheureusement, nous n'avons pas vu les enfants vendant les poupées. Dommage, ils devaient être à l'école.
A gauche, la tombe de Ramose, à droite le chemin pour aller vers la tombe de Sennefer.
Nous aurions pu encore visiter d'autres tombes puisqu'on avait les tickets, mais la chaleur a eu raison de notre résistance et on s'est arrêté là. A la sortie, nous retrouvons notre vendeur et comme promis, nous lui achetons une "véritable antiquité", il est content du marché conclu et nous aussi d'avoir acquis une bien belle tête de posture pour une modique somme. Les gravures comme les petites postures sont bon marché ici, je suis sur qu'on les auraient payées cinq fois plus chère dans les magasins de souvenirs. Et puis n'oublions pas que le plus beau jeu en Egypte est le marchandage, il ne faut donc pas hésiter à négocier. Perso, je n'y suis jamais arrivé.
Mohammed nous attend sur le parking pour nous transporter jusqu'au Ramasseum, juste en face.
Mohammed nous attend sur le parking pour nous transporter jusqu'au Ramasseum, juste en face.
Le Ramasseum
Le temple de millions d'années de Ramsès II est vide, aucun touriste à l'horizon à part nous et les gardiens. C'est vraiment super agréable, mais quel désastre pour l'économie locale.
En voyant ça, on se dit bien égoïstement que la vallée Thébaine est rien que pour nous. Laissant un court instant les soucis des autres sur le coté..... Cruel et magique à la fois.
Le temple de Ramsès et son colosse au sol nous semble bien triste sans personne pour l'admirer et quand je pense à ces idiots qui ont essayés de l'emmener, ou plutôt de la voler, je ne peut m'empêcher de rire devant leur incompétence. Et c'est une chance. En se promenant parmis les colonnes on peut apercevoir un autre artiste qui a voulu laisser lui aussi son empreinte pour la postérité en taguant son nom sur une de celles ci.
Il porte bien son nom "DEGOUTAN" et il le signe en plus, je voudrais pas être le descendant d'un tel abruti....Enfin, chacun sa façon de voir et de se faire voir.
Une partie du site étant à l'ombre, Maman se sent l'âme d'une exploratrice et se promène parmis les splendeurs du lieu. Pendant ce temps là, nous visitons les alentours du temple où l'on peut admirer les vestiges des greniers à blé, les étables ainsi que les cuisines et autres locaux nécessaire à la survie de cette cité.
Nous avons eu pour l'occasion l'aide d'un guide local bien sympa, mais je pense qu'il était plutôt là pour veiller au respect des lieux, ce qui est totalement normal, vu le nombre d'ostracas résidant au sol. Il commence à faire vraiment très chaud et on arrête la visite ici, laissant notre guide à sa solitude sans oublier son petit cadeau bien mérité.
En sortant du site nous allons prendre un rafraichissement chez une célébrité du coin : Monsieur Mahmout Abd El Rassoul, descendant des deux bergers qui ont découvert la cachette aux mommies royales. Mais malgré cette célebrité, il reste un homme comme les autres, souriant et plaisantant avec les clients. Un pause très agréable à faire. Si vous lui dites "see you later" en partant, il pourrait vous répondre "Alligator" qui est soit en rapport avec la chanson ou avec le mot japonais "aligato". Notre chauffeur, lui, devait certainement comprendre puisqu'il en éclatat de rire.
Sur la route, en rentrant, nous rendons visite aux colosses de Memnon. J'avais oublié qu'il y avait autant de vendeurs de chinoiseries dans lesquels doit se trouver notre cuisinier qui arrondit ses fin de mois comme il peut. L'arrêt vaut vraiment la peine car les statues sont magnifiques, surtout vu de près quitte à se faire un peu bousculer mais sans méchanceté aucune. A près tout, tout le monde doit pouvoir acceder à une partie des retombées de l'industrie touristique. Ce ne sont que des vendeurs , pas des voleurs enfin pas comme nous l'attendons.
Il porte bien son nom "DEGOUTAN" et il le signe en plus, je voudrais pas être le descendant d'un tel abruti....Enfin, chacun sa façon de voir et de se faire voir.
Une partie du site étant à l'ombre, Maman se sent l'âme d'une exploratrice et se promène parmis les splendeurs du lieu. Pendant ce temps là, nous visitons les alentours du temple où l'on peut admirer les vestiges des greniers à blé, les étables ainsi que les cuisines et autres locaux nécessaire à la survie de cette cité.
Nous avons eu pour l'occasion l'aide d'un guide local bien sympa, mais je pense qu'il était plutôt là pour veiller au respect des lieux, ce qui est totalement normal, vu le nombre d'ostracas résidant au sol. Il commence à faire vraiment très chaud et on arrête la visite ici, laissant notre guide à sa solitude sans oublier son petit cadeau bien mérité.
En sortant du site nous allons prendre un rafraichissement chez une célébrité du coin : Monsieur Mahmout Abd El Rassoul, descendant des deux bergers qui ont découvert la cachette aux mommies royales. Mais malgré cette célebrité, il reste un homme comme les autres, souriant et plaisantant avec les clients. Un pause très agréable à faire. Si vous lui dites "see you later" en partant, il pourrait vous répondre "Alligator" qui est soit en rapport avec la chanson ou avec le mot japonais "aligato". Notre chauffeur, lui, devait certainement comprendre puisqu'il en éclatat de rire.
Sur la route, en rentrant, nous rendons visite aux colosses de Memnon. J'avais oublié qu'il y avait autant de vendeurs de chinoiseries dans lesquels doit se trouver notre cuisinier qui arrondit ses fin de mois comme il peut. L'arrêt vaut vraiment la peine car les statues sont magnifiques, surtout vu de près quitte à se faire un peu bousculer mais sans méchanceté aucune. A près tout, tout le monde doit pouvoir acceder à une partie des retombées de l'industrie touristique. Ce ne sont que des vendeurs , pas des voleurs enfin pas comme nous l'attendons.
Maman, Mahmout et un des deux colosses de Memnon devant sa horde de vendeurs.
Inutile de vous dire qu'après cette journée de visite, la piscine fera un bien fou et qu'après manger et une bonne douche, nous étions prêt à aller dormir de bonne heure.
C'était sans compter ceci !!!!!!
C'était sans compter ceci !!!!!!
Un mariage juste dans le champs d'à coté et tout le village était invité. Monté en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. ils sont vraiment très débrouilards les égyptiens.
Durant 4 jours d'affilée, sans jamais voir les mariés si bien qu'au final on se demandait s'il ne s'agissait pas plutôt d'une fête religieuse ou autre. On ne le saura jamais, mais c'était quand même sympa. Surtout que nous y avons même été invités et on s'en est pas privé bien qu'on se sentait un peu comme des animaux de foire. Il faut dire que c'était réservé aux hommes....mais les touristes que nous étions étaient les bien venus malgré le peu de moyen dont ils disposent. En tout cas, le patriarche était super content de notre venue et nous a reçus de très bonne façon. Nous finirons par nous endormir sans trop de soucis et en toute quiétude, Bahry ayant monté la garde toute la nuit au cas où le hashish ferait un peu trop d'effets sur les fêtards.
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Durant 4 jours d'affilée, sans jamais voir les mariés si bien qu'au final on se demandait s'il ne s'agissait pas plutôt d'une fête religieuse ou autre. On ne le saura jamais, mais c'était quand même sympa. Surtout que nous y avons même été invités et on s'en est pas privé bien qu'on se sentait un peu comme des animaux de foire. Il faut dire que c'était réservé aux hommes....mais les touristes que nous étions étaient les bien venus malgré le peu de moyen dont ils disposent. En tout cas, le patriarche était super content de notre venue et nous a reçus de très bonne façon. Nous finirons par nous endormir sans trop de soucis et en toute quiétude, Bahry ayant monté la garde toute la nuit au cas où le hashish ferait un peu trop d'effets sur les fêtards.
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